La vertu des dictons (et autres spécifications linguistiques)
Nous... les Mecs, on est comme ça :
On est friands de petits dictons. Enfin, Nous ... les Mecs... je devrais plutôt dire : Moi ... le Mec, je suis friand de petit dicton. J'aime les dictons, donc (3 fois que je le répète, mais comme c'est dimanche matin, que je suis sur que tu as fait des folies de ton corps , dansant toute la nuit sur le dancefloor, que tu as découvert l'orgasme dans la mustang de ton pote (pfff ... c'est MON fantasme), que tu t'es couché tard, et que du coup, tu as la tête dans le trou des fesses, je préfère insister lourdement) mais j'aime aussi toutes ces petites vérités de la vie. Celles qu'on découvre au hasard du feuilletage d'un livre, ou celles qu'on invente soi-même. Car oui, lectrice, les hommes ont un coeur ET aussi une cervelle (et plein d'autres organes que je te laisse découvrir... effrontée que tu es).
Et ce qui est délicieux avec ces petites vérités, c'est tout ce qu'elles peuvent inspirer. Car, à vrai dire, nous les interprétons tous différemment. Fonction de nos humeurs, de notre passé, de nos envies, de notre vision de la vie. Et ce qui est encore plus délicieux, c'est de partager ces points de vues avec les amis, au fond de la nuit, sur une belle terrasse, dans l'air chaud de l'été, soutenu par tous les alcools qui se trouvent à proximité.
J'ai pour ma part quelques amis coutumiers du fait et qui, tant que tu ne leur concèdes pas que le caniche nain n'est pas vraiment nain, et qu'en plus c'te espèce de chien de sa race de chien, il devrait faire pipi en levant uniquement la patte arrière gauche, eu égard à ses origines communistes, ne te laisse pas aller te coucher. Je t'épargne les théories fumantes sur la loi des espèces, sur la sphérification de la planète, l'auscultation des fonds marins, leur paradigme et autres réflexions remplies de whisky. Moi, mes amis, c'est pour ça que je les aime !!!
Et si aujourd'hui j'en viens à te parler de tout cela, c'est qu'une amie chère, givrée et torturée mais si drôle, m'a mis dans les mains la citation qui, jusqu'à la fin de mes jours, me suivra comme un caniche nain, sera mon ombre dans la lumière des starligths, me guidera dans mes choix de vie, influera mes décisions, sera ma mire à l'horizon de ma folie (non, ce ne sont pas les paroles du dernier Ophélie Winter).
Et comme toujours, j'ai tellement plaisir à te livrer mes découvertes à toi, lecteur, que ce matin, tout dimanche soit-il, je vais te livrer cette citation. Gratuitement. Sans rien attendre en retour (vu que de toutes façons, tu ne me donnes jamais rien en retour .... démon de la pire espèce que tu sois! Fourbe et avare de commentaires .... pfff). Par contre, n'oublie pas qu'elle est devenue ma propriété et que, de ce fait, il t'est interdit de l'imprimer et de l'afficher au dessus de ton lit.
Voici donc ce que Confucius a dévoilé :
"Si tu choisis l'incinération, sache que ce sera ta dernière cuite. Tandis qu'enterré, tu auras toujours une chance d'avoir un petit ver dans le nez."
Chers lecteurs, buvons à la santé de Confucius qui, il y a déjà des lustres, avait compris bien avant nous que dans la vie, l'hydratation du corps est nécessaire à la vie, et que pire encore, même mort cette vérité se tient. Alors je prends mon verre de rouge et .. zou ... cul sec à la santé de min nouveau t'cho pote. Confucius for ever.
sY .... qui découvre que pleins de gens intelligents ont dis plein de choses intelligentes, finalement.
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