Et ta soeur ? Elle battrait pas le beurre ?
Nous... les Mecs, on est comme ça :
On dit "Et alors ?". Ben ouais. Tu veux un exemple ? Ok !
jOsiane : "Dis donc sY (pliant le genoux gauche, penchant le torse en avant et me saluant d'un large mouvement de bras), cela fait fort longtemps que ton blog n'a pas été alimenté d'un billet subtil dont tu as le secret !"
sY : "Relève toi, fourbe femme ! Dis-je d'un ton hautain. J'ai pas le droit de partir en vacances ? J'ai pas le droit de profiter du soleil ? J'ai pas le droit de me laisser vivre ? J'ai pas le droit de laisser le temps au temps ? Siroter mon Perroquet en terrasse ? Manger ma salade tomates-mozarella sous un soleil couchant ? Porter des Marcels et bronzer avec les marques ? Ben figure-toi que SI jOsiane. J'ai le droit ! Je suis parti en vacances ... et alors ? (bim ... t'as vu là ?), j'ai pas pu écrire sur mon blog ... et alors ? (re bim ... t'as vu là bordel ?), j'ai passé mon temps sans ordi ... et alors ? (punaise, dis-moi pas que t'as pas vu là ?). Puis d'abord : et ta soeur ?"
jOsiane : "Oh que oui, que Oh, que Oui, et que Oh que Oui, Ô sY !"
Bon ! Donc, Nous, les Mecs, on dit "Et alors ?"... et cette petite explication comme pour donner une raison à mon absence qui, je n'en doute pas, a été vécue pour toi, cher lecteur, comme une profonde douleur. Comme si je me sentais un peu merdeux de la fesse. Mais il n'en est rien. Oh que non. Figure toi, lecteur, que je suis libre. Un homme libre. Libre de faits, de gestes et tout le toutim (ouais ... la reprise est vachement DURE !).
Et pour clore ce billet qui, quand même, faut le dire, je te signale rObert, signe la reprise de la rentrée de la reprise (et le retour de la rentrée de la grippe aaahhh), je m'en vais te conter ce qui m'est arrivé hier ! Car de toute façon, comme disait KOSTAS, feu le Grec : "C'est toujours mieux qu'un pique-nique à l'Acropole !". Donc :
Hier, 13h et des broutilles. Mon fils et moi. Dans notre voiture qui, selon lui, appartiendrait à Batman. Sur l'autoroute qui, selon lui, mène au fin fond de l'univers cosmique. Hurlant des chants guerriers pour nous donner la force de finir cette longue route (Bref, dans la 307, sur A7, vers Lille, marmonnant un truc de Gotainer).
Tout à coup je me rends compte que, lorsque nous arrivons au sommet d'une côte, arrive une descente (enfin souvent !). Bon jusque là, rien d'extra. Que lorsque nous arrivons au pied d'une descente, arrive une côte. Rien d'extra encore. Mais le truc de fou (retiens ton souffle lecteur), c'est que les couillons d'en face (ceux qui partent en vacances alors que toi tu rentres grrr), eux, ils vivent aussi le truc et de façon parfaitement identique ! Ce qui signifie ... oui oui oui tu as bien compris ... que quand toi tu as finis de monter et que tu t'apprêtes à plonger dans la descente, eux, ils s'apprêtent à faire e-xac-te-ment pareil, alors que pourtant, ils viennent d'en face ! Ouwoua. Je dis Ouwoua. Sauf que, et là ça devient super fort, eux, ils viennent de parcourir une route que toi, tu t'apprêtes à découvrir : et surtout, eux, cette route, ils viennent de la monter, alors que toi, tu vas la descendre ! Tu piges ? Donc en gros, ils vivent finalement les choses au contraire de toi. Donc en faisant exactement COMME TOI, eux, ils font exactement l'INVERSE. Truc de fou ! De dingue ! De barjot quoi !
Bon, ce qui reste rassurant (surtout pour moi, là, en cette période troublée) c'est qu'après la descente vient toujours la montée. Ça fait méditer ça !
sY ... qui se creuse la tête pour savoir si, si il se douchait dans sa voiture, l'eau s'évacuerait bien dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, qu'importe l'angle de la voiture, du moment qu'elle est dans l'hémisphère Nord.
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fcedistic%2Fcamera.png)
/https%3A%2F%2Fprofilepics.canalblog.com%2Fprofilepics%2F5%2F1%2F512310.jpg)